1. Les antivols à câble, spirale, boa

Les antivols à câble sont des brins d’acier qui sont tressés et recouverts de plastiques. Ils sont appréciés pour leur légèreté, la longueur ou encore la facilité de pose. Toutefois, avec leur diamètre moins de 10 mm, il n’est pas trop recommandé de les utiliser, car ils se coupent facilement à l’aide d’une pince adéquate.

Pour les boas, cet enchevêtrement de cylindres en métal est plutôt résistant par rapport à un câble classique, mais pas pour autant indestructible.

2. Les chaînes et cadenas

Les chaînes comportent plusieurs maillons en acier de diamètre variable fermé par un cadenas. Ces types d’antivols sont faciles à utiliser du fait qu’ils peuvent être attachés vite fait sur un mobilier urbain.

Mais pour être efficace, chaque maillon doit avoir au moins 8 mm de diamètre.

3. Les antivols pliables

Ce sont des antivols qui ne sont apparus sur le marché que récemment. Avec leur forme en mètre de menuisier, il n’est pas difficile de les poser, ranger et transporter.

Toutefois, les points faibles de ces types d’antivols sont sa forme plate et ses articulations.

4. Les antivols de cadre

Avec leur forme de fer à cheval, les antivols de cadre offrent la possibilité d’immobiliser la roue arrière du vélo. Ils restent fixés en permanence sur le deux-roues du fait de son poids plutôt lourd.

Néanmoins, vous devez les combiner avec un autre antivol pour être sûr de vraiment décourager un potentiel voleur.

5. Les antivols en U

Sur le marché, rien de mieux qu’un antivol en forme U pour protéger efficacement votre vélo contre le vol. Mais ses seuls inconvénients sont son poids et la difficulté d’installation.

Ils peuvent même résister à la coupe-boulon, à la scie et aux outils de crochetage.

6. Les antivols avec alarme

C’est juste un antivol classique à câble, en U ou encore pliable, mais muni d’une alarme qui s’enclenche dès que quelqu’un essaye de le forcer. Mais l’efficacité de ce genre de gadget manque encore de fiabilité.

Un modèle adapté à vos besoins

Avant d’acheter un overboard, à choisir sur Energie Planete, commencez par déterminer vos besoins. Voulez-vous utiliser cet appareil pour vos déplacements au quotidien ou le réservez-vous à un usage occasionnel ? Voulez-vous faire du freestyle avec l’appareil ?

Pour un usage ponctuel, il n’est pas forcément nécessaire d’investir dans un hoverboard de haute qualité. Par contre, si vous voulez faire du freestyle, il est préférable de vous orienter vers un modèle tout terrain. Il peut être utilisé aussi bien sur l’asphalte que sur des pistes plus accidentées comme le gravier ou le sable.

Une batterie d’une grande autonomie pour aller loin

Comment savoir si l’overboard vous convient ? Vérifiez l’autonomie de la batterie. D’une manière générale, l’overboard présente une autonomie de 2 h 30. Cela vous permet de parcourir en moyenne 20 km. Mais, il existe des modèles qui permettent de parcourir jusqu’à 30 km environ.

L’autonomie de l’appareil dépend de la qualité de la batterie. Autant que possible, assurez-vous que le modèle que vous vous apprêtez à acheter est équipé d’une batterie d’une marque connue. Pensez également au temps nécessaire au chargement de la batterie. La plupart des modèles présents sur le marché se chargent en deux heures, ce qui est pratique.

Une puissance suffisante pour filer à grande vitesse

La puissance et la vitesse proposées par l’hoverboard sont d’autres points à prendre en compte au moment de choisir son hoverboard. Plus le moteur est puissant, plus il est possible d’augmenter la vitesse de l’appareil. Pensez à vous protéger.

Les moteurs des hoverboards ont une puissance comprise entre 200 et 700 Watts. Les modèles les moins puissants ne vous permettront d’atteindre qu’une vitesse de 8 km par heure au maximum. Les modèles les plus puissants ont une vitesse de croisière de 20 km par heure. Si vous voulez rouler encore plus vite que ça, optez pour un hoverboard équipé de deux moteurs. Grâce au couplage de moteurs, l’appareil n’aura aucune difficulté à rouler à vive allure.

Des roues assez larges, pour une meilleure tenue de route

Les roues jouent un rôle important dans le confort d’utilisation d’un hoverboard. En fonction des modèles, les roues peuvent être de 8, de 8,5 ou de 6,5 pouces. Il est conseillé de privilégier les roues assez larges, puisqu’elles permettent de mieux franchir les obstacles sur le terrain. Pour un modèle tout terrain, les roues crantées sont à privilégier.

Les roues peuvent aussi être équipées de pneus pleins et increvables ou, au contraire, gonflables. Les pneus pleins et increvables conviennent à un usage citadin. Les pneus gonflables sont plus adaptés à une utilisation sur des routes en mauvais état.

Un modèle ergonomique, pour plus de confort

Avant d’arrêter votre choix, vérifiez la surface de la plateforme qui accueille le repose-pied. Assurez-vous qu’il soit assez large pour que vos pieds puissent bien s’y poser. Vérifiez aussi que la surface soit antidérapante pour limiter au minimum les risques de chute. Pensez également au poids de l’hoverboard. Privilégiez les appareils légers, mais solides, car ils sont plus simples à transporter.

Tout savoir sur le stage de récupération de points

Comme son appellation le précise, un stage de récupération de points sert à récupérer des points. Autrement dit, il ne vous permet pas de récupérer votre permis si tous vos points ont été retirés. Un stage de récupération de points est accessible à ceux dont le permis est encore valable. Cela veut dire que vous possédez toujours votre permis de conduire. Sachez également qu’il n’est possible d’effectuer un stage de récupération de points qu’une fois par an. Au terme d’un stage, vous recevrez une attestation de présence qu’il faut ensuite envoyer au ministère de l’Intérieur. Mais en quoi consiste exactement ce stage de récupération de points ? Un tel stage a pour objectif de vous intéresser davantage à la sécurité routière. Il vise à vous faire pleinement prendre conscience de votre responsabilité au volant. Vous en apprendrez encore plus sur l’importance de respecter les règles de la conduite automobile. Vous en saurez un rayon sur les risques que tout conducteur automobile encourt s’il est fatigué au volant. Vous aurez aussi des informations sur les risques liés à la consommation d’alcool et de drogue. Vous participerez donc à des séances d’information et de sensibilisation pour une conduite plus responsable. Chaque stage réunit entre 6 et 20 conducteurs. Les sessions sont animées par un psychologue et par un enseignant expert en sécurité routière et en conduite automobile. Évidemment, tout cela se passe dans un cadre agréable, les discussions se déroulent dans une bonne ambiance.

Choisissez votre stage de récupération de points à Chartres

Comme dans tous les centres en France, un stages pour la récupération de points sur Chartres se déroule en 2 jours. Chaque journée dure 7 h chacune. L’une des conditions pour être admis au stage, c’est le respect des horaires, ne plaisantez pas là-dessus. Cependant, le stage ne sera pas sanctionné par un examen. La validation de votre stage dépend uniquement de votre ponctualité et de votre présence aux séances. Néanmoins, vous recevrez un certificat de fin de stage. Dès le lendemain, vous pouvez gagner jusqu’à 4 points sur votre permis. Il existe plusieurs centres à Chartres, par exemple, au 50 rue Chanzy, vous pouvez faire un stage pour éviter l’invalidation du permis de conduire. Pour réserver votre place, il suffit de le faire par téléphone ou de passer par une plateforme spécialisée. Un autre centre où vous pouvez suivre un stage, c’est au 14, place Drouaise. Il y a plusieurs dates de prévues pour une session de rattrapage de 14 h étalées sur 2 jours consécutifs. Plus loin, à Lucé, il y a un autre centre, plus précisément au 2 Impasse du Périgord. Peu importe votre choix à Chartres, le stage est agréé par la préfecture de l’Eure-et-Loir. Vous pouvez choisir le stage le moins cher.

Connaître les documents importants

Même quand on fait allusion au Code de la route, on n’oublie pas la nécessité des documents administratifs. Ces derniers ne quittent pas le quotidien d’un conducteur régulier. Le permis de conduire est obligatoire. La carte grise, la vignette du contrôle technique et l’attestation d’assurance sont aussi importantes. À la base, la préservation du permis est la plus grande préoccupation des conducteurs, singulièrement le permis probatoire, le permis à point, et le permis provisoire qui fonctionnent différemment. Or, quand on est un As du volant, et qu’on respecte les mesures de sécurité aux pieds de la lettre, on ne risque pas de perdre des points et d’avoir des problèmes. L’annulation ou la suspension de permis ne concerne pas tous les usagers de la route.

Se fier au livre de code

Au-delà des paperasses, l’examen du Code de la route nécessite une bonne préparation. En seulement quelques jours, on réussit à cerner les règlements de la circulation avec les méthodes qui gagnent. Si le vent de la technologie nous propulse vers l’apprentissage moderne et incroyablement efficace, la manière traditionnelle d’apprendre ses leçons ne perd pas de son efficacité. Aussi pratique qu’accessible, la lecture régulière de livre de code permet d’assimiler les cours sans faire d’effort. En effet, la lecture visuelle favorise la mémorisation des éléments importants des cours. Etablir une fiche de lecture serait même une méthode infaillible selon les experts.
Il est clair que pour réussir à son examen de code, on a besoin de se motiver dans les différentes étapes, avant même d’obtenir son permis de conduire, on participe à de nombreuses expériences. L’apprentissage du Code de la route demande patience, et motivation. C’est pourquoi il est crucial de trouver les bonnes techniques d’apprentissage.

Vérifier si vous remplissez les formalités adéquates avant de démarrer la conduite

Avant le démarrage de la conduite, vous devez faire certaines vérifications. Vous avez peut-être pu aborder ce sujet pendant l’examen du code de la route. Vous devez donc vérifier si vous remplissez les formalités adéquates relatives au permis de conduire et au certificat d’immatriculation.

Vérifier votre permis de conduire

Vous devez évidemment disposer du permis de conduire pour tracter une remorque ou une caravane derrière votre véhicule. Notez que le permis B suffit pour tracter une remorque dont la charge utile ne dépasse pas 750 kg. Au-delà, il faut disposer du permis BE. De plus, vous devez prendre connaissance des réglementations du Code de la route avant de vous lancer sur les routes avec une remorque ou caravane accrochée à votre véhicule.

Vérifier le certificat d’immatriculation

Vous devez vérifier le certificat d’immatriculation délivré par l’ANTS. Ce document est important pour conduire avec une remorque ou une caravane. Il vous faudra l’avoir si le poids de l’attelage à remorquer dépasse un certain poids. En-effet, au-delà de 500 kg, vous devez demander la création d’un certificat d’immatriculation propre à la remorque.

Conduire en respectant les normes du Code de la route

Vous devez obligatoirement conduire en respectant les normes de conduite exigées par le Code de la route. En effet, vous devez vous assurer que la caravane ou la remorque ne transporte personne. Elle doit obligatoirement être vide, pendant que vous conduisez avec, sur la route. Il est obligatoire de passer l’épreuve du code et de conduite afin de vous assurer que vous pouvez conduire avec cet attelage. Pour l’examen du Code de la route, vous devez répondre à 40 questions et ne pas commettre plus de 5 fautes. L’option vous est offerte de la passer en candidat libre. Dans tous les cas, vous devez avoir strictement connaissance des règles liées à la conduite.
Par ailleurs, vous devez respecter les distances de sécurité en majorant dans la mesure du possible, de la moitié de pourcentage requis pour une voiture qui conduit seule. Avant de dépasser une voiture, vous devez regarder à travers votre rétroviseur afin de vous assurer que le passage est dégagé. Vous pouvez aussi anticiper les manœuvres de conduite, de ralentissement et de freinage pour plus de sécurité. Vous pouvez vous servir du frein moteur sans toutefois l’utiliser inlassablement si vous êtes dans une descente. De plus, il faudra éviter de commettre les fautes suivantes :
– Coller une voiture qui se trouve devant la vôtre
– Dépasser une voiture du mauvais côté
– Oublier de jeter un coup d’œil dans le rétroviseur lorsque vous êtes sur le point de vous garer sur le côté
– Manquer de signaler le clignotant quand vous devez tourner
– Freiner brusquement.
L’ensemble de ces erreurs doit être évité si vous conduisez avec une remorque ou avec une caravane.

Limiter au maximum votre vitesse lorsque vous conduisez avec une remorque ou une caravane

Vous devez nécessairement limiter la vitesse à laquelle vous roulez, si vous conduisez avec une remorque ou une caravane. Il ne serait donc pas possible pour vous de conduire à plus de 100 km/h avec un attelage de ce poids accroché à votre véhicule. Vous devez aller lentement sans vous précipiter pour prévenir les éventuels risques. À cet effet, le Code de la route a réglementé les vitesses de conduite en fonction de l’itinéraire de conduite.
Pour une conduite sur une autoroute en période sèche, la vitesse prévue pour les conducteurs de véhicules avec une remorque ou une caravane est de 90 km/h. Il en est de même pour celles à double levées. Pour ce qui relève des autoroutes prioritaires, la limite de vitesse est de 80 km/h et d’une cinquantaine de kilomètres par heure en métropole. Sur le boulevard de la capitale, vous devez conduire dans la limite de 70 km/h. Vous devez respecter ces limites ou suivre celles indiquées sur les panneaux de balisage.
En somme, vous disposez des recommandations à mettre en pratique pour conduire avec une remorque ou une caravane. Vous pouvez suivre ces conseils pour plus de sécurité sur la route.

S’équiper correctement

Que ce soit pour faire la vidange ou remplacer une pièce du moteur, il faut avoir le bon équipement avant de procéder à la réparation d’une voiture de la marque Porsche. Si vous avez l’habitude de faire des interventions plus ou moins simples telles que le remplacement des pneus, alors vous aurez déjà le minimum de matériel. Cependant, pour effectuer une intervention comme un professionnel, il vous faut un équipement sophistiqué. Si votre garage est étroit, ce ne sera pas toujours possible. Heureusement, le concept de garage ouvert commence à se développer. Un garage ouvert est tout simplement un espace accessible à tous et qui propose la location de divers équipements le temps d’effectuer une intervention. Si vous n’êtes pas encore très doué en bricolage, des professionnels peuvent même être présents pour vous encadrer pour réparer votre Porsche et vous donner des conseils. Les tutoriels en ligne permettant de s’initier au remplacement de pièces sont par ailleurs déjà très nombreux. Une fois que vous serez habitué aux rudiments de la réparation automobile, vous pourrez intervenir sur votre Porsche sans passer par un garage.

Trouver les bonnes pièces

Sur une voiture de collection telle que la Porsche 911, il est impératif d’utiliser des pièces détachées neuves afin que votre bijou puisse conserver son aspect original. Pour obtenir des pièces d’origine, il est possible de passer commande sur le site officiel de Porsche. Vous aurez simplement à fournir le modèle de votre voiture et l’année de sa sortie. Si vous ne trouvez pas satisfaction sur ce site, il y a encore les sites spécialisés dans la vente de pièces détachées de diverses marques de voitures. Les casses peuvent aussi proposer des pièces pour Porsche à des prix raisonnables. Et enfin, si vous avez passé en revue toutes les options, il reste encore les échanges entre particuliers. C’est surtout avec cette dernière pratique que vous devez rester prudent, car les risques de tomber sur une pièce non authentique sont plus importants. Si vous n’êtes pas un connaisseur, mieux vaut demander le conseil d’un ami averti ou d’un professionnel, avant de procéder à l’achat d’une pièce pour votre Porsche.

S’occuper de l’esthétique

Le moteur n’est pas le seul élément qui peut nécessiter une réparation. D’autres pièces en rapport avec l’esthétique de votre voiture doivent être entretenues régulièrement pour que votre Porsche ait l’air neuve. Dans le cas d’une sellerie en cuir, il faut, par exemple, appliquer le bon produit régulièrement pour éviter que des dégradations apparaissent. Le tableau de bord, le volant, la moquette et les différentes garnitures doivent également être nettoyées fréquemment pour garder un intérieur sain et en bon état. En ce qui concerne la carrosserie ou l’entretien extérieur, il ne faut pas abuser des polish gommeur de défauts. Le nettoyage doit être fait plus en profondeur et dans le cas d’une carrosserie bosselée, le passage chez un professionnel est inévitable. En ce qui concerne les cabriolets Porsche, il faut nettoyer leur capote avec les bons produits pour éviter que cet élément ne nuise à l’aspect de la voiture.

Pourquoi faire attention à la taille du vélo ?

L’apprentissage du vélo est une étape importante pour un enfant. Les parents se doivent de les accompagner dans cette étape de leur vie, mais aussi, bien choisir leur vélo. Parfois, en tant que parent, on est tenté de raisonner en termes d’économie. C’est vrai que choisir un vélo de taille supérieure à celle de son enfant peut nous éviter d’investir dans un autre vélo dans les mois qui viennent. Cependant, c’est une erreur à ne pas faire, étant donné qu’une taille inadaptée à votre enfant pourrait le gêner dans sa pratique et même entrainer des troubles physiques comme de la fatigue, de la douleur articulaire, etc. Cela risqueraient également de le décourager à en faire. Ajouté à cela, pour des questions de sécurité, il faut aussi à votre enfant un vélo adapté à son physique, ce qui lui permettra d’acquérir les bons réflexes en cas d’incident.

Comment choisir la bonne taille ?

Comme pour le choix des habits d’enfant, il y a aussi des tailles à voir selon l’âge de ce dernier, pour les vélos. Cette taille prend en compte bien évidement, la taille de votre enfant, et bien sûr son âge. Pour commencer dans ce cas, il faut savoir qu’à partir de 2 ans, les draisiennes sont plus adaptées pour un enfant qu’un vélo normal, même si ce dernier est équipé de petites roues. À partir de 4 ans, il faut commencer à vérifier la taille du vélo qui est souvent exprimé en pouce ( »). Notez bien dans ce cas, qu’un pouce équivaut à 2.54 cm. Cela vous permettra de calculer les références sur les vélos. Par ailleurs, comme la taille des enfants varie d’un enfant à un autre, et que votre enfant n’est pas forcément dans cette « norme », il est indispensable de bien calculer la taille idéale de son vélo. De manière générale, de 3 à 5 ans, un vélo de 14 » est l’idéal. Ensuite, de 6 à 7 ans, on monte à 20 », et à partir de 8 ans, optez pour les modèles 24 ». Gardez en tête que c’est un investissement qui en vaut la peine, et que vous pourriez toujours le revendre sur internet pour financer votre prochain achat si votre enfant a besoin d’un, plus grand.

Quand changer le vélo de votre enfant ?

Comme énoncé plus haut, les vélos pour enfant sont commercialisés selon les tailles des gamins. Cependant, si vous avez par exemple, acheté un vélo adapté aux enfants de 6 à 7 ans pour votre enfant de 7 ans, ne vous imaginez pas être tranquille pour toute l’année de ses 7 printemps. Vous devez fréquemment, vérifier si le vélo est toujours adapté à la taille de votre enfant. En effet, un enfant, ça pousse très vite ! Alors au bout de quelques mois, vous allez probablement devoir réajuster certaines parties de son vélo. La hauteur de la selle et du poignet est à vérifier en priorité et cela, le plus fréquemment possible. Leur réglage ne vous prendra pas plus de 30 min. Si avec le réglage le plus haut, vous n’arrivez plus à avoir la taille idéale pour votre enfant, c’est le signe qu’il faut remplacer son vélo par un plus grand. Dans ce cas, même si ce dernier est à offrir en cadeau, il sera utile de l’emmener pour qu’il essaie le vélo.

Les conditions d’obtention d’un permis de conduire

Pour obtenir le permis de conduire, il faut passer le Code de la route et réussir le test pratique (la conduite d’un véhicule). Ce test peut être une épreuve hors circulation ou une épreuve en circulation. Quoi qu’il en soit, il faut être âgé de 17 ans minimum pour passer le permis de conduire. Le candidat peut s’inscrire en école de conduite pour suivre des cours. Pour cela, il faut fournir certaines pièces justificatives : justificatif de domicile, d’identité (passeport, carte d’identité), attestation de suivi de l’ASSR (attestation scolaire de sécurité routière) et du BSR (brevet de sécurité routière) ainsi que 3 photos d’identité pour les formulaires. Pour passer l’examen de code, il faut payer 30 euros. L’examen de conduite est gratuit. Toutefois, si le candidat est accompagné, la conduite est facturée d’une heure. Par ailleurs, un contrôle médical a lieu pour certifier l’aptitude à la conduite.

Les types de permis de conduire

– Le permis A regroupe les deux-roues, soit A1 (125 cm3), A2 (- de 35 kW) et A (+ de 35 kW).

– Le permis B est exigé pour la conduite de quadricycle lourd ou de voiture. Il y a le permis B1 pour le quadricycle lourd et le BE pour la voiture à remorque de plus de 750 kg. Le permis B est aussi requis pour l’apprentissage anticipé (à partir de 15 ans), la conduite supervisée (18 ans et plus) ou encadrée (16 à 18 ans).

– En ce qui concerne les véhicules transportant des personnes et des marchandises, il faut un permis C (CE, C1 et C1E) et D (DE, D2 et D1E).

– Le permis E (BE, CE ou DE) est exigé pour la conduite de véhicule de catégories D, C ou B attelé d’une remorque.

À 14 ans, il est parfaitement possible de conduire un deux-roues ou un trois-roues avec une cylindrée inférieure à 50 cm3 si le jeune a obtenu le brevet de sécurité routière (BSR).
Mis à part ce BSR, il existe une autre formation et éducation à la sécurité routière comme les attestations et les stages de sensibilisation à la sécurité routière (ASSSR). Cela permet d’adopter les bons comportements et d’être informé des risques routiers.

Le permis français permet de conduire sur le territoire français et dans certains pays non européens. Mais l’idéal serait d’avoir le permis international. Parfois, les pays étrangers ne reconnaissent pas ce dernier. Dans ce cas, vous devez faire des démarches pour avoir un permis dans le pays étranger où vous séjournez.

Il existe d’autres formes de permis comme le permis provisoire qui constitue un certificat d’examen du permis de conduire. Ce document permet de conduire en France avant la remise de son permis. Quant au permis blanc, c’est une autorisation délivrée par la justice à celui qui a enfreint les règles du Code de la route. Cette autorisation permet de sauvegarder son droit de conduire en cas d’urgence familiale, médicale ou professionnelle.

Que faire en cas de perte ?

Si vous avez perdu votre permis de conduire, il faut déclarer la perte avant de faire une demande de renouvellement. Pour en savoir plus sur les démarches à faire pour avoir un nouveau permis, sachez que vous devez déposer directement la demande de renouvellement au guichet de l’établissement public concerné. En contrepartie, vous recevrez un récépissé, vous permettant de conduire un véhicule en attendant la délivrance de votre nouveau permis.

Les documents à réunir pour le renouvellement de permis sont : timbre fiscal de 25 euros, justificatif du domicile (original et photocopie), 3 photos d’identité, une pièce d’identité (originale et photocopie) sans oublier la déclaration de perte. Remplissez également les formulaires cerfa et payez la taxe régionale.
Il est possible de procéder au renouvellement sur le site de l’Agence Nationale des titres sécurisés ou ANTS. C’est un service administratif du gouvernement français qui délivre les permis de conduire, les cartes grises, les cartes d’identité, les passeports, etc.

Les types de casques disponibles sur le marché

Pour votre sécurité, portez toujours un casque dès lors que vous conduisez votre deux roues. Le casque intégral est le plus adapté pour les motards. Il a l’avantage de couvrir entièrement la tête, y compris le menton. Pour avoir un champ de vision plus étendu et une meilleure aération, il est possible d’opter pour le casque Jet. Ce dernier est surtout adapté à la circulation en ville. Il vous est également possible de combiner deux types de casques en un seul modèle. Pour ce faire, vous pouvez opter pour le casque modulable. Les amateurs de cross et de trial, quant à eux, peuvent se tourner vers le casque cross. Notez que les marques de moto proposent aussi des casques pour motards. Sur https://bmw.europe-moto.com/fr/3-casque-moto-bmw-motorrad, vous pouvez trouver des casques BMW.

La matière de fabrication du casque

La matière avec laquelle est fait le casque influe sur sa solidité, son poids et son prix. Un casque fait en matière plastique est ainsi moins cher, mais ne dispose que d’un niveau de solidité moyen pour un poids plus important. Un casque fait en fibre de carbone est, en revanche, plus résistant et plus léger. Son niveau de confort est plus élevé, mais comparé à un casque en plastique, il est plus cher. À part la fibre de carbone, d’autres types de fibres (verre, kevlar ou aramide) peuvent constituer un casque. Ce type de casque est plus résistant, mais un peu plus lourd par rapport au casque en fibre de carbone.

L’homologation du casque pour motard

Selon l’article L.431-1 du Code de la route, la loi oblige les conducteurs de moto et leur passager à porter un casque. Ce casque doit respecter la norme de sécurité européenne ECE 22.05. Cette norme varie en fonction du type de casque et sa présence est indiquée par une lettre en fonction du type de casque présenté. Pour un casque Jet, l’homologation est certifiée par la lettre J. Pour un casque intégral, vous devez y trouver la mention P. Pour les casques modulables, vous devrez y voir les lettres NP.

La réparation d’une moto en cas de crevaison

Se retrouver avec un pneu crevé est un problème courant chez les motards. Dans cette situation, il est parfaitement possible de décider de vous salir les mains et d’entreprendre la réparation vous-même. Dans ce cas, essayez d’abord de retirer l’objet à l’origine de la crevaison, c’est-à-dire, le clou, la vis, l’éclat de verre, ou autres choses. Ensuite, vous pouvez, soit user d’un kit de réparation de pneu moto crevé pour mener à bien l’opération, soit employer une bombe anti-crevaison. Retenez, par contre, que cette seconde option n’est qu’une solution provisoire. Par ailleurs, vous pouvez aussi emmener votre véhicule chez un mécanicien pour une meilleure prise en main, surtout si vous n’avez pas les mains bricoleuses. De ce fait, le spécialiste va vous proposer trois alternatives pour réparer votre pneu de moto crevé entre autres, la réparation à la cheville, la fixation d’une pièce à l’intérieur des pneus pour reboucher le trou ou, pour les cas plus délicats, un remplacement total du pneu défectueux.

La réparation du guidon

Élément essentiel pour la conduite d’une moto, le guidon se doit d’être correctement installé. Dans ce cas, vous devez surement vous poser la question suivante : dans quelle situation a-t-on besoin de réparer ou de changer le guidon d’une moto ? La réponse est, au moment où vous remarquez un inconfort lié à cet élément lorsque vous conduisez votre engin. Cela peut survenir à la suite d’un choc, d’une collision ou d’une chute. Un motard décide également de remplacer le guidon de sa moto quand celui-ci commence à s’user, ou qu’il perçoit que le guidon est n’est plus attrayant visuellement et esthétiquement. Dans le cadre d’un simple redressement, vous pouvez dévisser les fixations centrales, remettre le guidon à une hauteur et une inclinaison optimale, puis resserrer le tout. En revanche, si un changement s’avère nécessaire, il va falloir démonter certaines pièces, à savoir les poignets, le rétroviseur et le guidon proprement dit. Au cours de votre manœuvre, faites attention au câble, et soyez prudent afin de ne pas confondre les vis de chaque composant. Pour finir, installez le guidon neuf et remontez les autres pièces.

Révision et réparation des feux

Veiller à ce que les feux de sa moto fonctionnent correctement constitue une garantie de sécurité primordiale pour le conducteur, aussi bien le jour que la nuit. Dans ce cas, dès qu’une ampoule présente une défaillance, il vaut mieux la remplacer rapidement. En général, les feux d’un véhicule à deux roues sont constitués de la veilleuse, du code/phare, des clignotants et des feux arrière. Chacun de ces éléments sont dotés d’une ampoule spécifique, par conséquent, ne vous trompez pas quand vous faites votre achat. Par ailleurs, lorsque vous retirez l’optique qui couvre les lampes, procédez avec délicatesse pour ne pas risquer d’abimer les fils électriques qui s’y rattachent. Une fois le travail terminé, n’oubliez pas de vérifier si l’ampoule fraichement installée fonctionne correctement. Enfin, si vous ne voulez pas vous cassez la tête, vous pouvez toujours appeler un professionnel pour réparer les feux de votre moto.